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neuropathiques

Les douleurs neuropathiques désignent une douleur résultant d’une lésion ou d’un dysfonctionnement du système nerveux somatique ou autonome. Elles se distinguent des douleurs nociceptives par leur phénotype et leur mécanisme, et elles peuvent persister même après que la cause initiale est traitée.

Étiologies et manifestations courantes

Elles peuvent être liées à des atteintes périphériques (diabète, neuropathie diabétique, neuropathie liée à une carence

Diagnostic

Le diagnostic repose sur l’interrogatoire et l’examen clinique, avec l’appui d’outils standardisés comme l’échelle DN4 ou

Pathophysiologie

Le mécanisme est multifactoriel et implique l’activation ectopique des fibres nerveuses, des altérations de l’expression des

Traitement

La prise en charge est multidisciplinaire et adaptée à la cause sous-jacente. Les options pharmacologiques comprennent

Épidémiologie et pronostic

Les douleurs neuropathiques sont fréquentes, surtout chez les patients diabétiques, et souvent sous-diagnostiquées. Le pronostic varie:

en
vitamine,
alcool,
radiothérapie,
chimiothérapie,
traumatismes
nerveux,
herpes
zoster
et
douleur
post-zostérienne)
ou
à
des
affections
centrales.
Les
symptômes
typiques
incluent
des
douleurs
brûlantes,
lancinantes
ou
électriques,
des
paresthésies
et
des
allodynies
(douleur
provoquée
par
un
stimulus
normalement
non
douloureux),
ainsi
que
des
hyperalgies
et
des
engourdissements.
LANSS.
Des
tests
complémentaires
peuvent
être
réalisés
lorsque
nécessaire:
examens
neurophysologiques
(la
conduction
nerveuse
peut
être
normale
dans
les
neuropathies
des
petites
fibres),
tests
de
sensibilité
quantitative,
biopsie
cutané
ou
imagerie
dans
certains
contextes.
Le
diagnostic
vise
à
identifier
une
neuropathie
périphérique
ou
centrale
et
à
exclure
d’autres
causes
de
douleur.
canaux
ioniques
et
des
récepteurs,
des
processus
de
sensibilisation
centrale,
et
une
réaction
inflammatoire
et
gliale
au
niveau
du
système
nerveux.
les
anticonvulsivants
(gabapentine,
prégabaline),
les
antidépresseurs
tricycliques
ou
les
inhibiteurs
réuptake
de
la
sérotonine
et
de
la
noradrénaline
(duloxétine,
venlafaxine),
et
les
traitements
topiques
(capsaïcine,
patches
de
lidocaïne).
Les
opioïdes
peuvent
être
envisagés
dans
certains
cas,
avec
prudence.
Les
approches
non
pharmacologiques
incluent
la
kinésithérapie,
la
thérapie
cognitivo-comportementale
et,
en
cas
de
douleur
réfractaire,
la
stimulation
de
la
moelle
épinière
ou
d’autres
neuromodulations.
La
gestion
de
la
condition
sous-jacente
(contrôle
glycémique
dans
le
diabète,
abstention
d’alcool,
traitement
des
carences)
est
essentielle.
certaines
formes
répondent
partiellement
au
traitement,
d’autresPersistent
sur
le
long
terme
et
nécessitent
un
accompagnement
soutenu.