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divisibilité

En arithmétique, on dit qu’un entier a est un diviseur de b s’il existe un entier k tel que b = a k. On note couramment a | b et l’on préfère souvent considérer les entiers positifs non nuls pour éviter les ambiguïtés liées aux signes. Les nombres qui s’écrivent sous la forme a k sont appelés multiples de a, et réciproquement, a est un diviseur de b.

La relation de divisibilité est une relation d’ordre partiel sur l’ensemble des entiers positifs: si a |

Tout entier positif peut se décomposer en produit de facteurs premiers; on parle de factorisation en nombres

Des tests de divisibilité simples permettent de vérifier rapidement certains cas: 2 si le nombre est pair;

b
et
b
|
c
alors
a
|
c.
Pour
les
entiers
positifs,
si
a
|
b
et
b
|
a
alors
a
=
b
(antisymétrie).
Cette
propriété
permet
de
comparer
les
nombres
par
leur
ensemble
de
diviseurs
et
d’étudier
leurs
structures
arithmétiques.
premiers.
Un
nombre
premier
p
ne
peut
être
décomposé
au-delà
de
lui-même
et
1.
Un
entier
n
est
divisible
par
p
si
et
seulement
si
p
apparaît
dans
sa
décomposition
en
facteurs
premiers.
Le
concept
conduit
aux
notions
de
plus
grand
commun
diviseur
gcd(a,b)
et
de
plus
petit
commun
multiple
lcm(a,b),
qui
décrivent
les
rapports
de
divisibilité
entre
plusieurs
nombres.
3
si
la
somme
de
ses
chiffres
est
multiple
de
3;
4
si
les
deux
derniers
chiffres
forment
un
múltiple
de
4;
5
si
le
dernier
chiffre
est
0
ou
5;
11
si
la
différence
entre
les
sommes
des
chiffres
des
positions
alternées
est
multiple
de
11.
L’algorithme
d’Euclide
sert
aussi
à
calculer
gcd(a,b)
et
à
tester
les
divisibilités
via
le
reste
de
la
division.