Lantiadhérence

Lantiadhérence est un néologisme utilisé principalement dans des contextes fictifs ou spéculatifs pour décrire une propriété supposée des surfaces qui réduit ou empêche l’adhérence entre elles dans certaines conditions. Le terme combine une racine lanti- avec le concept d’adhérence et est souvent employé pour évoquer une forme d’adhésion exceptionnellement faible ou dirigée.

Mécanisme et manifestations: dans les textes fictionnels, la lantiadhérence peut résulter d’une énergie de surface extrêmement faible, d’une topographie microrugueuse qui déforme les contacts ou de couches nanométriques qui atténuent les interactions interfaciales. Elle est fréquemment associée à des environnements sans air ou à des technologies avancées de surface.

Applications et contextes: sur le plan narratif, elle permet des mécanismes comme le non-adhérence de poussières spatiales, des manipulations de pièces sans frottement ou des docking plus simples entre modules. Dans les réflexions théoriques, elle sert à discuter de limites de l’adhérence et des possibilités de surface.

État de la notion: dans la science contemporaine, la lantiadhérence n’est pas une notion établie ni standardisée. Les phénomènes voisins relèvent de l’étude de l’adhérence, de l’énergie de surface, de la lubrification et des revêtements antiadhésifs, sans recours systématique à ce terme.

Voir aussi: adhérence, énergie de surface, lubrification, revêtement antiadhésif, friction.